a vos ames artistique

laissez vaguez vos ames artistique..

Une perle nacrée qui entrelace mes doigts glacés, elle effleure les pointes annimées. Je succombe entre les fils argentés, ils s'éventrent dans des couleurs dégradées, s'entortillent en
sucre en poudre.Elle me sourit, de mon propre reflet, elle bulle,
s'envole. Ecorche le plafond, pour s'éparpillée en arc-en-ciel. Milliers de sourires éphémères, billes en couleurs, bonbons amer. Un séjour chez la Reine Malice, dragés sucrés, pâtes en délices. Vert d'eau, reflet d'un sourire, il se lève et contemple, lèvres en chocolats, fond et salive.
Souvenirs glacés, en bâtons d'orges, incassable & incolore, délicat
& sobre.Tourbillons d'or & d'argent, infinitésimal, un vol sucré,
dans un éclat, au fond de l'indigo,dans le creux de tes yeux.

Bonbon, berlingot, bêtises... Calisson, caramel, gourmandises...
Qu'un faciès rayonne quand l'onde clair du sucre se répand, comme le serpent desséchés par le soleil, qui retrouve un étang, sinuant dans le palais humide d'un enfant sanglotant...

Chatterie, dragée, sucette... Confiserie, papillote, sucrette...
Un bambin qui ne rie, que seul une pastille diverti, peut-il accèder a cette liberté qui, fait passer le badauds pr souris et le rat pour Ostie, a travers le gout enlaidi, de vinaigre qu'on les larmes engourdi?

La saveur du volupté péché, le désir de cette orgie silencieuse,
vapeurs doucereuses, ne sont-elles pas l'éclat du rêve, de cette
névrose harmonieuse & accessible ?

c'est l'éclat d'une ame, comme le masque de l'age qui peut former un visage.

la suite... la suite...

Tu devins, mon amour, l'essence de mon regard, le regard de ta voix, la voix de ton corps, le corps qui devint le temple de mes remords. Le sanctuaire de reves, épouse la prière d'aurore.
Tu devins la plus qui inspire, la pamoison d'un jardin d'étoile, le paroxyme de l'ultime volupté, celle de t'aimer.
Ma plume est lourde, elle pèse dans ce style ,dont les pattes, telle celle de l'araignée nocturne qui va dans la gorge des enfants, sont autant de promesses et de douces morsures.
Tu trahis l'extase de tes remords, cette grace sublime qui au firmament a voler l'horyzon.
Tu me regarda, de la table de ton corps parcemé de larmes. Caresse moi le visage comme cette fourbe plume. Elle termine mon bras, tel un appendice meurtrier...Meurtrier...De la rédemption d'Aimée

Tu ma donné la volonté exsangue et dépravé d'etre celui que tu a aimé.

immuable pale crpuscule lunaire que ton mirage ephemere m'outrage ,telle une venus amnesique ,perdu dans les lymbes,croit tu que je devrais mourir pour hanter ton esprit?

La passion alors dévore ma raison , l'encre déchainé métamorphose mes veines en sève .. Je ne suis qu'une âme dépravée , vétuste, enchaînée.Sans raison je me tourmente, vague à l'âme, l'esprit funeste, le regard béant fâçe au gouffre vide,
les orbites encrassés au temps qui s'annime,les Souvenances s'entassent sur létagère, chagrin en fusion , s'entrêmele des cadavres de verre brisés

le sang qui d'ici et là s'écoule est-il le mien?
mon âme toute occupée à mes chagrins ne sait plus
mes sens opaques me questionnent

je n'ai rien à leur répondre
rien pour ma défense

Sur son cou caché par une écharpe
Une marque diaphane
L'empourpre a jamais...
Vampire...

tes doigts éfleur les rivages de mon coeur,enfonce tes ongles a travers ma tendre chair,tu vera le sang gicler sur ton doux visage meurtri,carsse le ,tu vera ma vie couler entre tes mains ,ouvre moi les veines ,rouge sang,rubis ,tu sens comme l'odeur est cuivrée,comme l'odeur est extase....je te percerai le corp d'un coup de baiser et pour sentir cette aspect luisant,je déroberai ta peau avc du sucre...

qu'il est doux, le supplice de l'amour
qu'il est tentant, le baiser d'éternité
la chaleur du sang qui s'écoule
le mien, le tien, en coulée de lave, mélés
sensation exquise de douleur
achevée en infinie douceur

saignons ensemble, mon saigneur

C'est une arcade illiptique, une thébaide spleenteique...
C'est une idée arborescente... Fléau d'étoile renaissante...

Une rosace infinie,
de plaisir en furie.
Notre amour féconde mon ame tiraillé,
Tes baisers morfonde, ma bouche infecté.

Ton sein me servira de sepulture,
Quand tu seras morte...Hilare,
Je réouvrirais cette écorchure,
Et ferais de tes lèvres un souvenir dérisoire.

Coule sur mon corp sucré,l'encre de tes veines
Mes songes vétustes,brulés par la sève,
Fin de nuit,espoire éphèmère pour une douleur,qui,
m'empoigne le coeur
La lueur fait disparaitre mes yeux avides
Porcelaine blanche,peau glacée d'une sylphide,
mes souvenances sont de marbre
sonore encore,cette eurythmie macabre.

bienvenue à toi, compagne de toujours
tristesse de sang, tueuse de nos amours
je ne quitte pas, je ne te quitterai plus
toi qui fait couler l'eau, le sel et l'impur
maladie de nos âmes, remède à nos sens
Mélancolie songeuse, Mélancolie au sang
il est des journée où je rêve, cruelle, éveillée
mensongère amante, en tes bras nourriciers